Quand on craque, la première réaction est souvent de se dire « foutu pour foutu… » et de reporter nos bonnes résolutions à plus tard…
Et de report en report, la volonté s’amenuise.
Pourquoi se laisser emporter par la culpabilité lorsque l’on a juste voulu se faire plaisir ?
N’y a-t-il pas une autre façon d’aborder nos instants de faiblesse ?